lundi 29 janvier 2007

DIEU ET SA CONSCIENCE ?


Monsieur Devedjian,
En votre âme et conscience vous qui avez été l’avocat de M Pasqua qui bénéficie d'une immunité sénatoriale, ce même homme qui en1958, est l'un des créateurs du SAC (Service d'action civique), police privée gaulliste fortement liée au Milieu et auteur de nombreux coups de main. Ne vous sentez vous pas un peu à coté de la plaque selon l’expression consacrée, ne peut-on pas dire que vous êtes l’avocat du diable ? Ne pensez vous pas qu’a un moment ou à un autre il faut balayer devant sa porte avant de s’attaquer aux problèmes de la France.
Libération du 8 février 2005 : « Quand, le 12 janvier 1967, une petite équipe d’Occident attaque les comités Vietnam sur le campus de l’université de Rouen, la « rixe » politique entraînera l’interpellation rapide d’une vingtaine de membres du groupuscule dont Gérard Longuet, Alain Madelin et Patrick Devedjian. »
Voir Patrick Devedjian, À moi le ministère de la parole : « Je pensais que la vie était un combat. Nous le menions avec les armes de la jeunesse et la violence était partagée. C'était ma première expérience politique. Bien sûr, je la regrette, je me suis totalement trompé. » (p. 19)
Et on pourrait en citer bien d’autres
concernant Pasqua :
Malgré l'épuration effectuée en 1968-1969, de 1968 à 1981, ses membres auront des ennuis avec la justice pour :
« coups et blessures volontaires, port d'armes, escroqueries, agressions armées, faux monnayage, proxénétisme, racket, incendie volontaire, chantage, trafic de drogue, hold-up, abus de confiance, attentats, vols et recels, association de malfaiteurs, dégradation de véhicules, utilisation de chèques volés, outrages aux bonnes mœurs. » (François Audigier, Histoire du SAC, p. 462).
Patrick Devedjian est élevé dans un pensionnat arménien, son père étant de cette nationalité. La guerre d'Algérie ravive en lui le souvenir du génocide des arméniens par les turcs. C'est le début de son engagement nationaliste de jeunesse.
L'Express du 23/05/2005
par Pierre-Yves Lautrou
La jeunesse de Patrick Devedjian fut engagée et agitée. De 1963 à 1967, il milite au sein d'Occident, un mouvement d'extrême droite violent, en compagnie d'un certain nombre de futurs élus, comme Alain Madelin, Gérard Longuet et Claude Goasguen. Frédéric Charpier, auteur de Génération Occident (Le Seuil, 2004), nous éclaire sur cette période.

Patrick Devedjian semble parfaitement assumer ce passé encombrant, affirmant qu'Occident n'avait rien à voir avec l'extrême droite d'aujourd'hui. Est-ce le cas?
Comme les autres, il assume l'histoire qu'il veut bien raconter, mais il ne dit pas la vérité. Ils cherchent tous à minorer la durée et la nature de leur engagement. Par exemple, ils rappellent qu'ils combattaient avant tout le communisme et le totalitarisme, mais, à l'époque, Occident soutenait tous les régimes totalitaires.

Quelle est l'origine de son engagement?
Il entre à Occident par «instinct patriotique», selon ses propres termes. La guerre d'Algérie lui a rappelé comment ses ancêtres catholiques arméniens ont été massacrés par les Turcs musulmans. Alors, il se demande si, une fois de plus, l'Islam n'a pas fait un sort aux chrétiens. Lui qui veut devenir un bon petit Français croit que c'est du côté des nationalistes qu'il doit être.

Quel militant est-il?
Personne, au cours de mon enquête, ne m'a dit du bien de lui. Tous en gardent un mauvais souvenir, celui d'un garçon arrogant, hautain, solitaire. Dans l'entretien qu'il m'a accordé, lui insiste sur son côté mouton noir - il était surnommé «l'Arménien» - victime d'ostracisme, voire de racisme.

Quelles influences garde-t-il de cette époque?
Comme beaucoup, il conserve une sorte d'élitisme, cette assez haute idée de soi partagée par nombre des anciens d'Occident, qui se prenaient pour une nouvelle aristocratie. Il n'y a donc rien d'étonnant à retrouver beaucoup d'entre eux chez les libéraux. Il lui reste aussi un côté «dur»: à Antony, il n'a jamais célébré lui-même le 19 mars 1962 et refuse encore les subventions au Secours populaire…

«Je fais de la politique pour les idées, assure-t-il. Je n'ai pas de jouissance du pouvoir, je suis trop sceptique.» Donc, les convictions – libérales

In Libération du 8 février 2005 : « Quand, le 12 janvier 1967, une petite équipe d’Occident attaque les comités Vietnam sur le campus de l’université de Rouen, la « rixe » politique entraînera l’interpellation rapide d’une vingtaine de membres du groupuscule dont Gérard Longuet, Alain Madelin et Patrick Devedjian. »

Les sarkozistes dénoncent un "choix aventureux"
C'est ce qu'a affirmé vendredi Patrick Devedjian à propos de l'attitude du Premier ministre. Les sarkozistes se disent "philosophiquement" défavorables au CPE.

Patrick Devedjian a jugé vendredi 17 mars que le Premier ministre Dominique de Villepin a fait un "choix un peu aventureux" avec le Contrat première embauche. Ce proche de Nicolas Sarkozy estime en outre que, sans dialogue social approfondi, le CPE "ne peut être qu'une mesure d'expérimentation".
"Nous aurions fait sans doute autrement si Nicolas Sarkozy avait conduit la politique du pays", note Patrick Devedjian dans un entretien à Radio Notre Dame, RCF et La Croix, publié vendredi dans le quotidien. "Mais quand on est sur le même bateau, on suit les instructions du capitaine".
"Je n'aime pas les déserteurs", ajoute le député UMP des Hauts-de-Seine. "Le capitaine a fait ce choix un peu aventureux mais nous sommes solidaires".
Patrick Devedjian observe néanmoins que "la refonte du contrat de travail ne peut se faire que dans un dialogue social approfondi". "Dès lors qu'on n'a pas ce dernier, le CPE ne peut être qu'une mesure d'expérimentation", estime-t-il. "Réformer en profondeur ne peut se faire que dans une très large concertation et une très grande pédagogie".

Patrick Devedjian reconnaît que "nous", les sarkozistes, "ne sommes pas philosophiquement favorables au CPE en soi": "ce n'est peut-être pas une mauvaise solution, mais nous sommes plutôt pour un contrat de travail unique et progressif".
"Si les manifestations anti-CPE atteignent un niveau inattendu, ce sera une interpellation directe à l'égard du président de la République", conclut Patrick Devedjian, qui ne juge pas pour autant "souhaitable" que Nicolas Sarkozy assume la charge de Premier ministre dans l'éventualité d'une démission de Dominique de Villepin. "La condition serait qu'il puisse mettre en oeuvre sa politique", argue-t-il. "Je ne crois pas que les conditions soient réunies pour cela". (Avec AP)
Et maintenant vive le CNE

mercredi 10 janvier 2007

INTELLIGENCE RETROGRADE

Je soutiens Nicolas Sarkozï a dit le sieur Juppé ce matin sur Europe N° 1 à Elkabach patron d'Europe1 et de la chaine Public Sénat.Quand on sait qu'Europe1 est le fleuron de l'empire Lagardère, l'un des principaux acteurs industriels français dans les secteurs de l'armement, de l'aéronautique et de l'aérospatiale. Donc dépendant des politiques pour la signature de ses contrats.
Qui peut imaginer sans rire du fait de cette situation une réelle indépendance du journaliste JP Elkabach dans la tenues de ses interviews politiques journalières à 8h20 sur Europe 1 ? Poser la question, c'est déjà y répondre...
hasard d’une question : « du style avez vous pensez à vous présenter à la prochaine élection présidentielle ! »Vous répondre que je n’y ai jamais pensé serait mentir. Quand on a consacré, comme je l’ai fait, une grande partie de sa vie professionnelle à l’engagement politique, quand on a exercé de lourdes responsabilités publiques, il est naturel d’éprouver ce désir. Tout simplement pour accomplir sa tâche jusqu’au bout et tenter de concrétiser ses idéaux.Les circonstances ne m'aurait pas permises d’entrer dans la course.
Extrait de son blog notes ( plus d'une ) Ecarté, par ma faute, des premiers rôles de la scène politique nationale depuis plusieurs années, je ne me sens pas en situation de me lancer dans la compétition avec quelque chance de victoire. Et à quoi servirait une campagne de témoignage, sinon à jeter le trouble dans ma propre famille politique ?
JE SUIS TOUJOURS SURPRIS PAR LE MOT FAMILLE Est-ce à dire que je ne m’engagerai pas dans le débat qui s’annonce ? J’ai trop ancrée au fond de moi la passion de mon pays pour me retirer sur l’Aventin. pour eux qui ne saurait pas
définition :
L'Aventin (Aventinus en latin, aujourd'hui Monte di Santa-Sabina) est l'une des sept collines de Rome, de toutes la plus méridionale, située entre le Tibre, le mont Caelius et le mont Palatin.
Cette colline fut réunie à la ville par Ancus Martius. Dans l'Antiquité, on y voyait, entre autres monuments, le Temple de la Liberté et un Temple de Diane.
La Plèbe, en conflit avec le Patriciat, s'y retira plusieurs fois jusqu'à ce qu'elle obtînt reconnaissance de ses droits, notamment en 493 av. J.-C. et 449 av. J.-C..
L'Aventin est aussi connu que le Palatin ou même le Capitole.
Extrait de son blog notes ( plus d'une ) J’ai envie d’exprimer moi-même, et d’entendre de la part du candidat, un certain nombre d’idées auxquelles je crois.Et d’abord l’amour de la France. De ce qu’elle est, de ce qu’elle doit demeurer. Je crois à la vertu de fidélité, y compris chez les peuples. Je crois en une France fidèle à elle-même comme Raffarin uune d'en bas qui donne et une d'en haut qui reçoit, toujours la même réthorique!!!!Fidèle à son histoire, à sa culture, à sa langue, à ses valeurs. Fidèle au « modèle » économique et social qu’elle a construit au fil des décennies, c’est-à-dire à l’équilibre entre l’esprit d’entreprise et l’économie de marché, sources de toute richesse d’un côté, et, de l’autre côté, l’élan de fraternité et de solidarité, l’exigence de protection collective sans lesquels la volonté de vivre ensemble qui définit le sentiment national s’étiole. La recherche de cet équilibre est un combat de tous les jours. Mais elle fait la beauté de notre aventure commune.Fidélité de la France encore à sa vocation européenne et internationale : faire entendre une voix libre, qui parle de paix, de coopération, de développement, de justice, de gouvernance mondiale plutôt que de confrontation ou de coercition.France fidèle. France moderne. Qui pourrait nier que notre pays a besoin, dans certains domaines, de profonds changements pour s’adapter au monde nouveau ? Il a su le faire, et magnifiquement, tout au long de son histoire et notamment depuis un demi-siècle. On voit bien aujourd’hui les défis à relever : remettre le travail à l’honneur ; diffuser dans notre société une vraie culture de responsabilité ; « agiliser » l’Etat ; donner la priorité à la formation des hommes et des femmes, notamment en dotant l’enseignement supérieur des moyens et de l’organisation qu’il mérite ; investir massivement dans la recherche… Sur ces questions et sur quelques autres, j’ai avancé des propositions dans le livre que je viens de publier : « France, mon pays. Lettres d’un voyageur ».Il est un domaine où une rupture s’impose : le sauvetage de la planète. Nous savons que, si nous ne réagissons pas vigoureusement, le processus de destruction de la nature, de la vie et sans doute de notre Terre deviendra irréversible. Or nous avons la capacité de réussir. A condition de consentir, du local au global, à une révolution écologique de nos comportements. Je reviendrai plus longuement sur les voies et moyens de cette révolution, dans le cadre de la préparation de le Conférence de Paris qui doit se tenir à l’Elysée les 2 et 3 février prochain et dont le Président de la République m’a confié la coordination.Voilà quelques-uns des sujets dont j’aimerai voir débattre les candidats à la prochaine élection présidentielle.Dans ma famille politique, Nicolas Sarkozy s’est déjà exprimé sur certains d’entre eux. J’ai partagé plusieurs de ses analyses ou de ses projets : je pense à sa volonté d’organiser l’immigration de manière plus cohérente, en liaison avec les pays d’émigration ; à sa vision d’une fiscalité plus juste et plus incitative ; ou encore à ses propositions pour sortir l’Union européenne de la crise d’identité où elle est plongée. Je me suis réjoui de voir l’évolution de sa pensée sur la manière de débloquer le modèle français d’intégration ou sur l’avenir de notre protection sociale. Il lui appartient maintenant de préciser son projet présidentiel, par exemple : sur le fonctionnement de nos institutions, sur le nécessaire effort de défense de la France ou sur la spécificité de sa politique étrangère.Le choix d’un candidat, c’est le choix d’un projet. C’est aussi le choix d’une personne.Je connais bien Nicolas Sarkozy, depuis longtemps. Je connais ses forces et ses faiblesses, comme il connaît les miennes. J’apprécie sa capacité d’agir. Il en a fait la démonstration depuis 2002. C’est un atout majeur pour conduire une grande Nation dans un monde turbulent.Il y faut aussi la capacité de rassembler, qui implique le refus de toute forme d’intégrisme, le sens de l’écoute et le respect du point de vue d’autrui. Nicolas Sarkozy veut et peut rassembler.Le temps du débat interne à notre famille politique est maintenant clos. Comme je l’ai affirmé à plusieurs reprises, ces dernières semaines, seul Jacques Chirac, du fait de sa fonction, ne saurait être tenu par des procédures de parti. S’il choisissait d’être candidat, une situation nouvelle serait alors créée, qu’il appartiendrait à chacun d’analyser. Pour l’heure, l’UMP va se prononcer.Pour ma part, et pour les raisons que je viens de dire, j’ai décidé d’apporter mon soutien à Nicolas Sarkozy. Jen ai un peu marre de corriger toutes ses inepties alors je fais un peu silence
Ah si def :
Ineptie
Caractère inné du psy né. L'ineptie, c'est :- savoir intimement depuis toujours qu'on sait tout mieux que tout le monde ;- savoir dire avec aplomb "je sais des choses sur toi que tu ne sais pas" ;- savoir dire mouiiiii ;- savoir se rallier corps et âme à une école, freudienne, lacanienne ou schmurtzelschtienne, et cracher sur les autres ;- avoir fait sept ou huit ans d'études pour avoir le droit d'être inepte sans que personne n'ose rien dire.