mardi 17 avril 2007

L'IDENTITE NATIONALE PARLONS EN

Est'il, en revanche, fondé à se proclamer seul défenseur de" l'identité nationale " ? Mais qui se déclarait " fier d'être surnommmé Sarkozy l'américain " ?
Qui affirma, aux états unis qu'il se sentait sounent un étranger dans son propre pays " ?
Qui regretta que la Frace ait brandi son droit de veto pour s'opposer à la guerre d'irak ?
Voici quelques commentaires tirer du journal Marianne.
vous remarquerez que cela faisait déjà bien longtemps que l'homme s'y croyait, on aperçoit en haut à droite sa marque de fabrique,tout un symbole, mais il y a toutefois des signes qui ne trompent pas ce n'est sûrement pas avec les religions chrétienne et musulmane que Nicolas Sarkozy se sent le mieux, mais avec l'intelligentsia israélienne Sharon ou américaine : ou il rencontre en Septembre 2006 le président du Congrès Juif Mondial, Israël Singer. Le prix de « l’homme politique de l’année » lui a été attribué par l’Union des patrons juifs de France qui l’ont désigné comme celui qui « saura sans doute redonner une nouvelle dynamique aux relations d’amitiés solides qui lient Paris, Washington et Jérusalem ».
Voici ce que j'avais écrit sur le blog de Patrick DEVEDJIAN et qui m'avait valu d'être traiter d'antisémite et pourtant l'auteur de ce livre est un auteur reconnu
Réalités et illusion de l’assimilation
Extraits de la page 208
….Ce qui amène Cholnoky à tenter de définir le « caractère Hongrois » opposé au « caractère juif » - tâche ardue à cause de l’hétérogénéité du peuple ethnique extraordinaire du peuple Magyar. Selon lui « le Hongrois » a un tempérament marqué par la mémoire de la lutte millénaire de son peuple pour la survie. Le caractère Magyar est l’incarnation spécifiquement hongroise du noble du noble, du bien, du juste, du généreux. Aussi quand on voit des écrivains, des savants, des politiciens, des sociologues, d’origine juive critiquer, railler injurier des auteurs et des œuvres de la littérature, de la science, du droit, de la moralité authentiquement Hongrois, quand on les voit substituer aux valeurs hongroises des imitations importées de l’occident, il n’est pas étonnant que la nation s’estime agressée »
page 209
On objectait aux antisémites que les plus grands esprits « authentiquement hongrois » de l’époque – Ady, Bartok, Babits, etc. – étaient eux aussi accusé d’occidentalisme, de cosmopolitisme, d’antinationalisme par la presse conservatrice, la réponse était prête : « c’était bien naturel, puisqu’ils étaient enjuivés, ils avaient épousés des femmes juives, ils s’étaient vendus aux mécènes juifs. »
L’une des cibles des accusations de cosmopolitisme étaient le baron Lajos Hatvany, attaqué à la fois en temps que critique et essayiste farouchement anti-conservateur et comme mécène de la littérature d’avant-garde incriminée. Or, Havany était le prototype des juifs convertis et anoblis, prêts au maximum de sacrifice pour échapper à la fureur ani-sémite. Le seul moyen, écrivait-il, emboîtant le pas à Agoston, c’était de se fondre dans la société chrétienne, de se faire baptiser, de faire oublier son origine. Il citait l’écrivain Maximilien Harden, qui avait expliqué sa conversion au christianisme par la boutade : « Quand on est invité à un bal, on y va habillé en frac comme tout le monde ».. « On ne peut pas s’habiller en Kaftan, même en un Kaftan spirituel, quand on veut sortir du ghetto », écrit Harvany, ajoutant : « chers juifs, habillez vos enfants en frac et toute les portes jusqu'à présent fermées s’ouvriront devant eux et il pourront participer sans obstacle à tous efforts du genre humain. »
Une minorité de Juifs Hongrois avait effectivement pensé pouvoir échapper à « la malédiction juive » par la conversion à l’une des religions chrétiennes. Mais les apostats feront l’expérience que ni la conversion, ni le mariage mixte ne leur éviteront d’être considérés comme juifs par les antisémites.
La réaction de Harvany était une réaction de fuite du passé de ghetto dont il se sentait persécuté, malgré sa grande fortune et son talent.
L’une des contributions les plus intéressantes de l’enquête de la revue a été celle de la première femme de Jàsci, la poétesse, la romancière et peintre, Anna Leszai. Dans son récit autobiographique Au commencement fut le jardin, elle avait peint un tableau magistral de sa famille anoblie, vivant au milieu de la gentry provinciale. Le malaise qu’exprime son texte dans Huszadik szàzad est d’autant plus frappant que par ailleurs son œuvre est empreinte d’une sérénité propre aux auteurs les plus enracinés dans leur province natale. « le problème juif, écrit –elle, existe même quand une personne d’origine juive est assise toute seule entre les quatre murs de sa chazmbre, à huit clos. Il n’existe pas seulement dans lesrapport entre tel ou tel individu juif et la société Magyar. La gravité du problème vient de ce que le juif se sent « juif » pour lui même.
Lesznay évoque son enfance dans le manoir paternel ……

Extrait de « Hongrois et Juifs » de François FEJTÖ histoire millénaire d’un couple singulier ( 1000- 1997 )

Pour moi tout semble clair, même baptisé Sarkozy me semblait être plus proche des israélites que de sa religion de base, ou il est semble chrétien baptisé .......

1 commentaire:

marcel a dit…

hello
vous pouvez mettre vos infos et discuter sur le forum de jewisheritage.fr
shalom