jeudi 14 décembre 2006

SARKOZY, JE M'AIME PAS LES AUTRES


Dans son livre Sarkozy se complait à dénigrer Lionel Jospin, Jacques Chirac et Dominique de Villepin, il n’en a que peu de bien à dire.
Pour Lionel Jospin ce sont les problèmes de licenciements chez Michelin ou encore chez LU ou il traite l’attitude du fait que la réponse de ce denier avait été « lapidaire », criante de vérité en même temps que d’impuissance : « l‘état ne peut pas tout »
Par contre les quelques cent mille salariés d’Alstom laisser sur le bord de la route pour je ne sais quelque boursicotage et enrichissement partisane on n’ont plus que leurs yeux pour pleurer
Et Jacques Chirac je cite, nous sommes beaucoup à le penser, les débats qui m’on parfois opposé au président de la république ont déjà permis de faire de notre majorité ce lieu d’échange dans lequel d nombreux Français ont pu reconnaître leurs aspirations différentes. Malgré c que dit Sarkozy les deux hommes n’ont pas arrêté de se taper dessus, un livre entier ne serait pas suffisant pur y recueillir toutes les anecdotes et d’ailleurs quel intérêts sachant que les deux hommes se haïssent, la douceur du trône y est tellement agréable. Ci-dessus encore une petite phrase de Sarkozy
Je n’ai pas partagé l’esprit de la campagne présidentielle de Chirac en 1995 et ceci malgré le fait qu’Edouard Balladur (prononciation our en turque) n’est pas passer le premier tour.
Quant au pauvre Dominique de Villepin non cité mais ou tout le monde reconnaîtra en lui le CPE, « l’échec inéluctable du CPE » et Sarkozy globalement pensait que continuer à défendre cette réforme « accessoire voire inutile » voir passer en force celle-ci, c’était donner à la gauche les clés du scrutin. Pauvre Nicolas s’il n’y avait que le CPE comme point négatif dans la politique destructive de la droite et en particulier de l’U.M.P cela ne serait qu’un verre d’eau prélevé dans l’océan.
Au fait pourquoi parle t’on toujours de droite républicaine, la gauche ne le serait-elle pas ?
Le mot "république" a été formé à partir de deux mots latins : le nom féminin "res", qui signifie la "chose", et l'adjectif "publica", que l'on peut traduire par "publique".Ainsi la république, la res publica, désigne dans un premier temps l'organisation publique de la société (ex: La République de Platon). Par la suite, elle sera définie par opposition à la monarchie et de se déclinera en socialiste, démocratique, libérale, populaire.
"J'appelle donc république tout État régi par des lois. Sous quelque forme d'administration que ce puisse être; car alors seulement l'intérêt publique gouverne, et la chose publique est quelque chose. Tout gouvernement légitime est républicain " « code Rousseau de 1762 »

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